dimanche 26 octobre 2014

COLLINE Est EN VENANT DE CROISSY

Cette photo deviendra vite une photo ancienne car il est prévu ne construction habitations-crèche en haut de cette colline.

Bougival 2014




lundi 20 octobre 2014

Pierre-Denis MARTIN (1673-1743)


Ce tableau représente l'ancien château de la Jonchère et la côte de la Jonchère.
L'aqueduc de Louveciennes est bien visible ainsi que la plaine de Croissy.
Remarquez également la machine de Marly.
Pierre-Denis MARTIN, rendez-vous de chasse à Bougival


 

dimanche 19 octobre 2014

JULES LAURENS (1821-1901), BOUGIVAL



JULES LAURENS (1821-1901), BOUGIVAL

On aperçoit nettement le viaduc de Louveciennes et le quai avec ses habitations.



lundi 6 octobre 2014

HOTEL RESTAURANT PIGNON A BOUGIVAL

Bougival, janvier 2015


Son histoire commence en 1800, lorsque le comte Boissy d’Anglas achète du terrain à Bougival et se constitue ainsi une propriété de 27 hectares qu’il nomme le Val d’Anglas. Il y aménage un parc et s’y installe jusqu’à sa mort. En 1850, la propriété est vendue par lots et partiellement urbanisée le long du quai.


En 1872, le restaurant Pignon  ouvre ses portes au 5 Quai Boissy d’Anglas et deviendra très vite un hôtel réputé fréquenté par les célébrités de l’époque, attirées par le renom du lieu et sa facilité d’accès.

Au fond, le tramway est arrêté devant l’entrée de la petite ville, qui deviendra la rue du Général Leclerc
L'hôtel restaurant Pignon est situé sur la droite de la carte postale
En 2014, l’enfilade des bâtiments est identique. Certains ont été restaurés, mais pas le N°5

L’ Hôtel restaurant Pignon du temps de sa gloire et du tramway qui amène les clients depuis Rueil.
Aux beaux jours, plus de 200 clients sont accueillis dans le jardin aux sons d’un orchestre tsigane. 
La facture très raffinée de ce bâtiment permet de le dater dans les années 1860.
L’Hôtel ferme en 1904 et la maison connaîtra des fortunes et des infortunes diverses.

 En 1960, elle devient un garage Peugeot que les Bougivalais se félicitent d’utiliser mais dont les retombées esthétiques sont désastreuses -


- Le jardin disparaît et il est remplacé par des ateliers et entrepôts
- Tout le bâtiment est encerclé par des balustrades fort disgracieuses qui le cachent presque complète-ment.